En lien avec ces objectifs de neutralité carbone, la métropole a donné une grande place au vélo dans son plan de mobilité voté en 2021.
L’objectif : passer la part modale du vélo de 1 % à 7 % dans la ville à horizon 2030.
Mais ce virage a été amorcé bien avant, dès le vote en 2018 d’un plan vélo 2019 - 2024 financé à hauteur de 60 millions d’euros par la métropole et de 40 millions par le département.
Les ambitions ont été clairement affichées et objectivées, avec la volonté de doubler la part modale du vélo dans les trajets quotidiens.
Ce plan, ce sont 15 actions concrètes, autour de 3 grands axes :
- Développer l’usage du vélo pour les trajets du quotidien
- Favoriser l’accès au vélo au plus grand nombre
- Sécuriser la pratique cyclable et promouvoir l’usage du vélo
Le territoire applique la bonne recette : intégrer les services vélo dans une politique volontariste de mise en place d’un vrai système vélo.
Ce système agit autant sur les services que sur les infrastructures, sans oublier le développement de la culture vélo.
Un comité de suivi a été mis en place, incluant la concertation avec les associations locales, pour s’assurer de la satisfaction des usagers.