Dans l’imaginaire collectif, plus un vélo a de vitesses, plus il est adapté à toutes les utilisations. Mais cette vision se base sur l’utilisation de vélos mécaniques.
Pour ces derniers, il est clair que les vitesses sont essentielles. Elles permettent à l’utilisateur de gérer notamment sa vitesse et les dénivelés.
Les vélos électriques, de par leur conception, ne nécessitent pas de vitesses au même titre que les vélos mécaniques. Ces dernières vont même souvent provoquer des pannes ou une gêne utilisateur, alors qu’elles n’avaient aucune valeur ajoutée dès leur installation.
Explorons ensemble pourquoi.
1. Les vitesses automatiques sont plus simples
A l’image des voitures électriques, certains vélos électriques utilisent l’assistance automatique sans vitesses mécaniques. Comment ça marche ?
L'élément clé de cette assistance automatique s’appelle un capteur de couple. Ce dernier permet d'adapter le niveau d'aide au coup de pédale de chacun, en fonction de la force exercée sur les pédales.
Cette technologie aujourd’hui éprouvée a tout simplement remplacé les vitesses sur un vélo électrique. Il suffit simplement pour l’utilisateur de pédaler plus fort ou plus vite : cette action remplace celle de changer de vitesse. C’est aussi logique que d’appuyer sur une pédale d’accélérateur dans une voiture automatique.
On comprend alors facilement comment la suppression des vitesses mécaniques simplifie l’utilisation d’un vélo électrique.