En encourageant l'utilisation du vélo comme moyen de transport, Fifteen contribue à réduire la congestion routière, à améliorer la fluidité du trafic et la qualité de vie dans les zones urbaines. En rendant accessibles les services de vélos partagés à un plus grand nombre de personnes, à des zones urbaines et péri-urbaines, Fifteen favorise l'inclusion sociale et économique et répond ainsi à l’ODD 11 (Objectif de Développement Durable établi par les États membres des Nations unies)
Prendre le vélo pour se déplacer, a fortiori s’il est loué à une autorité publique, c’est la manière la plus efficace et la moins chère de se déplacer. En effet, un abonnement annuel tout inclus à quelques dizaines d'euros est le mode le plus économique après la marche et peut permettre de parcourir des distances plus longues !
Économiques mais aussi souvent déployés sur l’ensemble d’un territoire, ils sont, comme les transports publics, accessibles à tous et peuvent même parfois desservir des zones plus large que celles desservies par les transports en commun et ainsi les relier. Ainsi, les services de vélos sont source d’émancipation et ce notamment pour les jeunes et les femmes, en particulier lorsqu’ils sont installés en périphéries ou dans les villes moyennes, là où l’offre de transport en commun est moins dense et donc là où la voiture est reine.
Des services encore trop dédiés aux cyclistes favorisés de centre ville
La réalité des services de vélos publics aujourd’hui c’est qu’ils s'adressent encore trop à un public d’initiés, déjà cyclistes, favorisés et habitants dans les grands centres urbains. Les cadres représentent par exemple près de 50% de l’ensemble des usagers des services de vélo partagés alors que les demandeurs d’emplois et ouvriers n’en représentent que 3%.