Nous sommes tous au fait des avantages du vélo : une moindre congestion du trafic, la diminution de la pollution sonore, la baisse des émissions de gaz à effet de serre, ainsi que des citoyens plus heureux et en bonne santé.
C’est une évidence.
Les systèmes de vélos en libre-service sont pour cela un bon moyen de démocratiser l’accès au vélo… mais il en existe d’autres !
Et les vélos en location longue durée (VLD) en font partie.
1. Faible maintenance et revenus fixes
Les systèmes de location de vélos en longue durée nécessitent un investissement moindre que les systèmes traditionnels de vélos en libre-service. Du point de vue de la gestion opérationnelle, il n’y a pas d’échange ni de rééquilibrage, pas de stations, et surtout, des recettes plus prévisibles. En effet, l’usager paye un abonnement tous les mois, sur une durée minimum de 3 mois en général.
Vous avez uniquement besoin :
- D’un investissement initial pour l’achat des vélos et des pièces détachées
- D’un atelier pour la maintenance (même si, dans le cas des petites villes, cela peut être externalisé à des vélocistes locaux)
- Une équipe pour gérer la flotte et effectuer des réparations pour les usagers (si inclus dans votre offre)